Les mathématiques, Gödel et la philosophie du « trop grand ou plus qu’une machine »

5 janvier 2025

rationnel et irrationnel

Kurt Gödel et sa façon de nous faire tourner la tête avec ses idées énigmatiques ! « Soit les mathématiques sont trop grandes pour l’esprit humain, soit l’esprit humain est plus qu’une machine. » Ça sonne un peu comme une devinette, non ? Genre, « Quelle est la taille de la boîte à outils de l’univers ? Ou bien, qu’est-ce qui a un cerveau, réfléchit, mais ne peut pas porter de chapeau ? » Ça pourrait être le début d’une série de charades philo-mathématiques.

Mais bon, si on y réfléchit sérieusement (enfin, à notre manière), Gödel nous balance un sacré pavé dans la mare de nos certitudes sur ce que nous sommes et sur ce que sont ces mathématiques qui nous ont tant torturés à l’école.

Déjà, les maths, c’est un peu comme les licornes : tout le monde en parle, mais peu savent vraiment ce que c’est. Pour certains, c’est une sorte de langage crypté réservé aux génies ; pour d’autres, c’est une douleur de tête à la simple évocation du mot. Et Gödel, lui, il arrive en disant : « Eh les gars, vous avez tout faux ! »

Il nous met face à deux options dignes d’une intrigue de film : soit les maths sont trop énormes pour notre cerveau (genre, c’est comme essayer de mettre un éléphant dans une boîte à chaussures), soit notre esprit a des pouvoirs cachés dignes d’un super-héros sous couverture. Ou bien les deux à la fois, qui sait ? Peut-être que nos cerveaux sont des super héros essayant désespérément de faire rentrer cet éléphant dans cette boîte à chaussures, juste pour relever le défi.

Mais là où ça devient vraiment intéressant, c’est quand on parle de la relation entre nous, les êtres humains. Oui, cette chose bizarre qu’on appelle « relation sociale ». Vous savez, ces moments où on fait semblant de s’intéresser à la passion de tante Gertrude pour les timbres tout en se demandant où diable sont passées les conversations sur les licornes.

Revenons à Gödel. Ce mec, il nous dit que soit on est nuls en maths, soit on a des pouvoirs supra-mathématiques insoupçonnés. Et là, on se dit : « Hé, mais on est peut-être tous dans le même bateau ! »

Imaginez-vous dans un monde où chaque individu est un maillon dans cette grande chaîne d’équations, de preuves et de paradoxes. On serait un peu comme ces personnages d’un film d’aventure tentant de résoudre une énigme pour sauver le monde, sauf qu’ici, ce serait plus pour sauver nos neurones du naufrage dans cette mer houleuse de chiffres.

Mais cette relation entre les individus, c’est un peu comme les pièces d’un puzzle géant. Chacun apporte sa petite pièce à l’ensemble, et on espère que, à la fin, ça ressemble à quelque chose de cool, genre la Tour Eiffel ou un arc-en-ciel de licornes.

On a besoin les uns des autres pour jongler avec ces idées qui nous dépassent. Parce que sérieusement, qui n’a jamais eu besoin d’un ami pour l’aider à comprendre cette histoire de théorème de Pythagore ou pour lui expliquer pourquoi diable « X » se trouve souvent dans des endroits étranges ?

Et puis, ces discussions profondes sur les concepts mathématiques, ça peut être la base de nouvelles amitiés ! Vous imaginez, au lieu de demander « Quel temps fait-il ? » à un inconnu, on lancerait des défis mathématiques du type : « Hé, combien de balles de ping-pong peut-on mettre dans cette piscine olympique ? » Croyez-moi, ça rendrait les files d’attente beaucoup plus intéressantes.

En somme, Gödel nous invite à explorer cette relation entre l’immensité des maths et la complexité de notre esprit. Et pour y arriver, on a besoin de se serrer les coudes, de se prêter main-forte dans cette grande aventure des nombres et des théories.

Alors, amis explorateurs du monde des maths et de la pensée humaine, continuons à partager nos idées, à résoudre des énigmes ensemble et à explorer les recoins mystérieux de cet univers. Qui sait, peut-être qu’à la fin du jour, on trouvera un chapeau à cette devinette philosophique de Gödel ?

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